-
« Il nous faut vraiment comprendre la personne que l’on veut aimer. Si notre amour n’est que désir de possession, ce n’est pas de l’amour. Si nous ne pensons qu’à nous-mêmes, si nous ne reconnaissons que nos propres besoins et ignorons ceux de l’autre, nous ne pouvons aimer. Nous devons regarder profondément afin de voir et comprendre les besoins, les aspirations et la souffrance de la personne qu’on dit aimer. C’est cela le fondement du véritable amour. Il est impossible de ne pas aimer quelqu’un qu’on comprend vraiment. De temps à autre, asseyez-vous près de l’être aimé, prenez sa main et demandez : « Mon amour, est-ce que je te comprends assez ? Ou est-ce que je te fais souffrir ? Je te prie de me le dire afin que je puisse apprendre à t’aimer de façon juste. Je ne veux pas te faire souffrir et si je le fais à cause de mon ignorance, je te prie de me le dire afin que je puisse t’aimer mieux et que tu sois heureuse. » Si vous dites cela sur un ton qui transmette une véritable ouverture à la compréhension, l’autre se mettra peut-être à pleurer. C’est bon signe, car cela signifie que la porte de la compréhension s’ouvre et que tout sera à nouveau possible.
Un père peut ne pas avoir le temps ou ne pas être assez courageux pour poser une telle question à son fils. Alors l’amour entre eux n’aura pas la complétude qu’il pourrait avoir. Nous avons besoin de courage pour poser ces questions et si nous ne les posons pas, plus nous croyons aimer plus nous risquons de détruire ceux que nous essayons d’aimer. Le véritable amour a besoin de compréhension. Avec la compréhension, l’être aimé s’épanouira sans aucun doute. »
Thich Nhat Hanh,
La sérénité de l’instant
votre commentaire -
« Chaque jour, j’ai l’impression de mûrir. Je sens la libération approcher.
Je suis sensible à la beauté de la nature, et à la bonté de ceux qui m’entourent. »Anne FRANK
votre commentaire -
Voilà Trois mois que tu nous as quitté
Trois mois que ton cœur a cessé de battre
Quelle immense douleur nous avons dû affronterDepuis nous continuons, parce qu'il faut vivre
Mais le chemin est rude, ton absence pèse un peu plus chaque jour
on s'accroche à des petites choses
Des objets qui ont fait partis de ta vie
Chacun vit sa peine à sa manière, mais pour ma part...Il y a des moments, où j'arrive à oublier la douleur
du vide et de l'absence, et puis.....
Des instants, quand le manque est trop dense
La douleur au creux de l'estomac revient
tranchante, violente tellement violente que j'ai envi d'hurler ma souffrance
Envie de te dire "Ca suffit maintenant, quand rentreras tu à la maison"!
Et la réalité me claque au visageTrois mois, sans entendre ta voix, sans converser avec toi, te voir
Et puis le film me revient, et ce n'est pas le meilleur que tu as réalisé
Celui de ta souffrance, celui des aller-retour à l'hôpital, celui de la crainte, celui de l'espoir
Ta douleur, tes douleurs, ta peur de la mort, ta pudeur et ton courage
Toutes tes confidences du soir, lorsque tu venais à la maison, que tu m'as faites et qui me bouleversaient à chaque fois que tu partais chez toi
Et le pire tes derniers moments de vie, le docteur qui nous convoque, et on s'accroche au peu qu'il reste
La désillusion par ton état que nous voyons se dégrader là! impuissants que nous étions, et le sommeil
Ce sommeil qui t'as sauvé de la souffrance et de la peur pour la fin, c'est bien là, ma seule consolation
Et tout ce que je garde au fond de mon cœur qui n'a rien de joliLa mort guette, et nous l'attendons, quelle horrible sort!
J'aimerai parfois que le temps passe vite, encore plus vite, pour ne plus ressentir, ce vide et cette douleur qui me torture
J'essai d'accepté l'inacceptable
Je pourrai me consoler en t'imaginant auprès de maman, Alain, Pierrot, Alexandra, Bachir et tant d'autres
Mais je n'y parviens pas pour l'instant
Je sais qu'un jour, je sourirai en pensant à toi
Ce n'est pas encore à l'ordre du jour, tu me manquesJe t'aime COCO
Ta grande sœur Farida
votre commentaire -
« Faire naître un désir, le nourrir, le développer, le grandir, le satisfaire, c’est un poème tout entier. »
Honoré DE BALZAC
votre commentaire -
« Elle avait traversé plusieurs univers avant de pouvoir s’aimer, se rencontrer et donner à son tour de l’amour, sans l’attente ou l’exigence d’une contrepartie ou d’une réciprocité. »
Jacques SALOMÉ
votre commentaire -
« La douceur, la générosité, l’amour valent mieux dans ce monde que la cruauté, la vengeance et la haine. »
Paul LÉAUTAUD
votre commentaire -
« Le Bonheur pour une abeille ou un dauphin est d’exister. Pour l’homme, c’est de le savoir et de s’en émerveiller. »
Jacques-Yves COUSTEAU
votre commentaire -
« Le plus grand plaisir n’est pas le sexe, c’est la passion avec laquelle il est pratiqué. Quand cette passion est de grande qualité, le sexe vient pour accomplir la danse, mais il n’est jamais l’essentiel. »
« Celui qui observe et découvre la personne dont il a toujours rêvé sait que l’énergie sexuelle précède le rapport sexuel. Le plus grand plaisir n’est pas le sexe, c’est la passion avec laquelle il est pratiqué. Quand cette passion est de grande qualité, le sexe vient pour accomplir la danse, mais il n’est jamais l’essentiel. »
Paulo COELHO
Onze minutes
votre commentaire -
« Sache m’aimer et je saurai t’aimer, car j’ai en moi le goût de l’amitié si on me comprend. »
« Ô mon maître, ne me prend pas pour esclave, car j’ai en moi le goût de la liberté. Ne cherches pas à deviner mes secrets, car j’ai en moi le goût du mystère. Ne me contrains pas aux caresses, car j’ai en moi le goût de la pudeur. Ne m’humilie pas, car j’ai en moi le goût de la liberté. Ne n’abandonne pas, car j’ai en moi le goût de la fidélité. Sache m’aimer et je saurai t’aimer, car j’ai en moi le goût de l’amitié si on me comprend. »
Charles BAUDELAIRE, BAUDELAIRE
votre commentaire